Friday, April 30, 2010

Enfin.

Bon, on avait qu’un groupe de 47 personnes et 2 clientes mais ça m’a permit d’avoir un départ un douceur.

Au menu :

- terrine de brie à la tapenade de champignon ( une idée discutable même du point de vue de sa créatrice car c’était à peu près impossible de trancher le fromage sans écraser et expulser la tapenade en dehors du fromage ) sans salade verte.
- Crème d’asperges
- Saumon à la sauce d’agrumes ou poulet à la sauce au porto avec légumes au beurre, couscous et purée de panet.
- Truffier

Par coutre, il y avait tout une animation car le groupe était un bal de finissants.

Le service a été un peu bordelique, les 3 cuisiniers se marchait mutuellement sur les pieds mais on va corriger ça pour demain. ( on a un groupe de 170. )

Et après le service, j’ai eu la joie de replonger dans le monde verdâtre de la plonge.

Avez-vous déjà plongé la main dans une eau de plonge ? Avant d’envoyer les bacs de vaisselle salle dans la machine à laver, il faut les rincer. Toute cette eau tombe dans un lavabo qui se bouche au moins une fois par soirée et pour le dédoucher, il faut plonger la main. Bien sûr, il y a l’odeur et les petits morceaux de nourriture qui nage dans l’eau mais l’aspect le plus rejouissant est la très sympatique texture graisseuse qui colle à vos mains jusqu’à la douche.

Enfin, je suis heureux d’avoir commencé à travailler.

J’allais oublié, Je mène 2-0 dans la série de parties d’échecs. Encore chaud par contre car je n’ai eu l’échec que 6 coups avant le pat technique.

Voyez-plutôt.



Et ce soir, le soir sera encore de 2-0. François a fait une gaffe en fin de partie qui m’a permis de faire Pat.

Thursday, April 29, 2010

Jour 2.

J’étais prêt.

Je ne pouvais pas être plus prêt, j’ÉTAIS la définition du mot « prêt ». Le réveil a sonné 8h45 ( je travaillais à 9h ). Je me suis donc levé à… 9h10.

M&?#E !!!

À 9h11, j’étais dans la salle de bains.

Ou est mon dentifrice.

FFFFF&%?$#@CCKKK !

Bon, mauvais matin qui commence. Je me suis « brossé » les dents à l’eau et j’ai mangé une pomme en me rendant à la cuisine.

En arrivant dans la cuisine, j’ai été accueilli par Roxanne qui ne semblait pas avoir remarqué mon retard qui m’annonce que je ne travaille pas aujourd’hui… ( apparemment, même l’équipe de jour n’est pas rentrée ) car tout ce qu’il y a avait à faire était de préparer le buffet pour la cérémonie de départ à la retraite de Marthe.

Donc, j’ai mis deux tranches de pains pour me préparer un déjeuner ( beurre de peanut et jus d’orange. Minimal pour l’instant mais les matins devraient plus réjouissants quand la première grosse commande va arriver ). Je mangeai tranquillement mes toasts quand mon nez m’ordonna d’aller vérifier ce qui se passait dans la cuisine adjacente à la salle des employés où je mangeais mon déjeuner.

La cuisine de Marjolaine, la pâtissière de Cap-aux-Pierres, est magnifique : Superbe fenestration, de l’espace généreux, un superbe espace de travail en bois et de la place pour courir un 100 mètres.

Mais tout cela n’avait aucun intérêt à ce moment-là. La lois de société furent la seul force qui m’empêcha de sauter tête première dans la pâtisserie étalées partout dans la pièce : délice ( gâteau aux dattes ), tartes aux sucres, gâteau aux carottes, truffiers, etc…

Après avoir salué Marjo, je suis retourné, la mort dans l’âme, à mes tristes rôties.

Bon, la réunion officielle des employés était à 14h, j’ai donc tué le temps.

À 14h10, la réunion a commencé.

Bon, c’était un peu sec mais on a rapidement passé au noyau : le nouveau système d’horaire.

Avant, les horaires fonctionnait avec des banques d’heures. Quand un employé travaillait plus de 40h dans une semaine, elles étaient sauvegardées pour être transmises à des semaines moins chargées. Ça marche en théorie mais certains employés finissaient leur saison avec plus de 100 heures en banques que le groupe Dufour devait leur payer ce qui d’après ce que j’ai compris, n’est pas légal.

Donc, le nouveau système fonctionne de la manière suivante. Au lieu de devoir faire des semaines légales de 40 heures, il va falloir faire des mois de 160 heures. Laissez-moi m’expliquer.

Si un employé travaille 50 heures pendant la première semaine, 40 la deuxième et 40 la troisième, l’employé travaillera 30 heures. Ça marche en théorie, nous verrons ce que ca donnera en pratique.

Après c’était la cérémonie de départ à la retraite. Marthe c’est fait offrir une sorte de gravure de l’auberge en verre.

Et enfin, le buffet !

C’était bien, Salade de fèves, chips au romarin et au basilic, poulet rôti, etc…

S’en suivit une autre séance de d’extermination temporelle ( cette semaine s’annonce vu que Roxanne m’a annoncé que je ne travaille pas demain non plus ).

À 11h, ce fut le moment de la partie d’échec. Encore une fois, ce fut ardu mais j’ai réussi le mat 2 coups avant le pat technique.

Observez donc.



1-0.



Voilà, Journée 2 terminée.

P.S : Je me rends compte que ce que j’ai écrit jusqu’à maintenant est plus ennuyant qu’une exposition d’art moderne monochrome. Je vais laisser tomber les entrées hebdomadaires et simplement raconter les évènements marquants de la saison.

Tuesday, April 27, 2010

Bon, je suis arrivé.

Jour 1. 28 avril 2010

note: Mis en ligne en retard, je n'avais pas fini d'écrire quand l'hôtel fermait et la borne sans fil ne se rend pas à ma chambre.

Étant donné que ma 1er réunion d'employés avait lieu à 10:00am, le départ était a 7:00am.

Ça faisait longtemps que je m'étais pas levé aussi tôt mais étrangement, le réveil fut sans heurt et sans "snooze" et le départ n'eut pas de retard.

Moi, mon père Michel et notre chienne Chatouille ( qui ADORE faire un tour de voiture pour un raison que j'ignore encore ) prirent donc la direction de Baie-Saint-Paul. La météo annonçait des chutes de neige importantes mais il faut croire que nous les avons devancées. ( à Michel: comment est-ce au retour ? ).

D'habitude, conduire sur de longues distances me fait somnoler et étant donné ma courte nuit, je pensais m'endormir sur le volant mais tout s'est bien déroulé jusqu'à Beaupré.

À partir de là, il y a eu 2 problèmes.

Il y a eu beaucoup de pentes raides et c'est assez difficile de ne pas regarder les paysages ( j'ai vraiment besoin d'un appareil photo ).

Arrêt à Baie-Saint-Paul pour permettre à Chatouille de faire un numéro un.

Puis, ce fut Les Éboulements ( c'est le nom d'un village ).

Certains d'entres-vous connaissent ce village par la tragédie qui eu lieu entre celui-ci et Saint-Joseph de la rive.

Car entres ces deux villages, il y a une côte...

C'est de loin la côte la plus à pic que j'ai jamais vu de ma vie ( 18 % dans la zone la plus raide ) mais la présence rassurante d'un camion devant moi me limitant à 25 km/h rendit l'expérience plus paisible.

Après ce fut le traversier et l'arrivée à l'auberge.

Donc, première réunion d'employés ( principalement pour les gens de cuisine, la réunion officielle de toute l'équipe de Cap-aux-Pierres étant demain ).

Fait à noter: Une bonne partie de la brigade est féminine. À part moi et François, tout les deux venant de l'extérieur, il y a Roxanne qui est la chef en place et une équipe de 4 femmes résidents de l'île qui travaillent le matin ( Je vous reviens avec leurs noms dès que possible ).

Pour l'instant, les employés de l'extérieur vivent dans des chambres d'hôtel ( confortables. J'ai eu une chambre double donc je n'ai pas à me plaindre ) mais bientôt nous aurons accès à une maison semi-privée ( chambre privée, salon/cuisine partagée ) mais vu que je serai probablement seul avec François, je crois que la cohabitation sera facile.

Sans compter que ce sera le grand luxe: laveuse/sécheuse, internet illimité, télé câblé, cuisine, etc... et n'oublions pas que les employés ont droit d'utiliser toutes les commodités de l'hôtel ( piscine, pétanque, tennis, driving range, etc.. )

J'ai eu ensuite droit à une petite visite de l'auberge. ( des photos bientôt, promis )

L'heure du lunch approchait donc, Roxanne, François et moi sommes allés dans la cuisine.

Énorme surprise.

Bon, la cuisine n'est pas aussi grande qu'au Michelangelo mais le rapport employés/pied carré est encore PLUS IMPORTANT qu'à mon ancien lieu de travail.

Donc, repas pour le midi. "Spagath ?" me demande Roxanne ? Pourquoi pas. Elle ouvrit donc une boîte de... soupe aux pois.

Problème.

Mais voila que survint Yolanda armé de 2 mini-pizzas et d'une boîte de sauce à spaghetti.

Nous dinèrent donc de soupe aux poids, de spaghetti ET de pizza.

J'ai pu ensuite allé visité ma chambre: Lit double, petite table, télé, douche/bain. Standard mais agréable.

Plus tard dans la journée, François est venu me voir pour me demander si il y avait des distrations sur l'île. N'ayant aucune idée, il est allé demandé une carte à la réception.

Bon, apparemment sur l'île, il y a un salon de quilles ( reservé à la ligue locale et aux groupes de 20 personnes et plus ) et un resto pub à 30 min de vélo ( que je n'ai pas pour l'instant ).

Bon , heureusement que j'ai de la lecture.

Durant la soirée, alors que je regardais un peu la télé, François est venu me proposer une partie d'échec.

Quelle partie.

Mon jeu offensif s'est heurté à un mur. Mon collègue de travail jouait presque exclusivement défensif. Ce fut une partie qui, à défaut d'avoir un autre terme, était parfaite. Pas de coups stupides. La partie a finit par un Pat. J'ai donc proposé à François de joueur une partie par jour jusqu'à la fin de la saison pour savoir qui est le meilleur.

On verra, pour l'instant c'est 0-0.

Ce fut donc la fin de ma première journée. Rien de palpitant mais certaines personnes à qui est dédié ce blog apprécieront sans doute que je n'ai pas omis les parties un peu ennuyeuse de ma journée.

Wednesday, April 7, 2010

Donc, tout commencé sur EmploiQuébec.com


Connaissez-vous ce site ?

J'adore ce site. Il est efficace, facile d'utilisation et ils ont la plus grande banque d'offres de tout les sites de recherches d'emploi que j'ai visités ( et de loin. Honte sur vous Monster ! ).

J'ai trouvé tout mes emplois sur ce site, de manutentionnaire chez Chromex à cuisinier au Michelangelo.

Ceux qui connaissent le Michelangelo se demandent peut-être pourquoi j'ai quitté un emploi dans un restaurant aussi prestigieux. Eh bien, comme la plupart des restaurants, le mois de Janvier est souvent difficile. Après le temps de fête, les clients ont le porte-feuille vide et l'estomac plein.

Donc, mon chef a rassemblé les trois nouveaux à Michelangelo ( Moi, Kevin et Sam ) et lâcher une bombe: "Il n'y a plus assez de jobs pour vois trois. Je vais donc devoir me passer de l'un d'entres-vous. Chacun votre tour, vous allez travaillez avec moi pour une semaine. Je choisirai le deux meilleurs en fonction de votre efficacité."

Un lourd silence tomba comme un nappe de brume dans la salle des employés.

J'ai été le premier à briser le silence: " Yan ( le nom de mon chef ), je crois que je vais me sacrifier. Sam et Kevin sont dans des situations financières plus difficiles que la mienne ( voitures à payer, petites amies étudiants à l'université Laval, etc... ). J'ai toujours eu un peu de misère avec les horaires difficiles ( journées coupées, horaires hebdomadaires changeantes ) et je n'ai pas envie de briser l'amitié que j'ai avec Kevin et Sam.

Donc, je me retrouvé au chômage...

Le chômage n'est jamais agréable. Vivant encore chez mes parents, l'argent n'était pas un problème mais ce levé chaque jour en ce demandant: "Que vais-je faire aujourd'hui ?" devient vite redondant et ennuyant.

Je me suis donc tourné vers mon site de recherche d'emplois préféré.

Après quelques semaines frustrantes ( incluant une DÉSASTREUSE entrevue au Château Bonne-Entente ), j'ai trouvé une offre du groupe Dufour ( propriétaire de l'auberge Cap-aux-Pierres ) recherchant un cuisinier pour un poste avec hébergement inclus.

Un de mes objectifs de carrière est de travailler sur les bateaux de croisières donc un emploi de ce genre semblait parfait pour expérimenter, entr'autre, de vivre avec des collègues de travail dans une maison semi-privée ( chambre privée, salon et cuisine commune ).

Ma mère m'a toujours encouragée à écrire de belles lettres de motivation pour accompagner mes curriculum vitae. Elle avait raison ( Merci mom ! ) si ce n'est un problème: J'avais mentionné les beautés de l'île dans ma lettre. Une île que je n'avais visité ( honte sur moi ).

Ma mère, pratique comme toujours, me proposa d'y aller. Bon, je n'aime pas voyager ou conduire une voiture, surtout pour faire 4 heures de routes ( incluant 1 ou 2 heures pour prendre le traversier ) mais, il fallait voir l'île, il le fallait.

Malgré qu'elle était ternie par l'agonie de l'hiver ( que certains zouaves osent appeler le printemps ), l'île était belle. Elle n'était pas un diamant taillé brillant de mille feux comme Québec au soleil couchant. Elle était d'une beauté simple comme une jolie pierre qu'un enfant ramasse pour cacher dans sa boîte aux trésors.

Donc, voyage de retour.

L'entrevue eu lieu au Clarendon ( hôtel appartenant au Groupe Dufour dans la haute-ville de Québec. ).

Ce fut intense.

Le questionnaire était long, très long ( Mes dernières entrevues m'avait habitué à des rencontres sur le coin d'une table avec le chef du restaurant qui embauchait et à des question simples d'ordres techniques traitant de salaire, d'expérience et de disponibilités ).

Un pot-pourri de questions "typiques" d'entrevues ( Quel est votre plus grand défaut ? Comment votre ancien employeurs vous décrirait ? Ce genre de choses ), de questions techniques ( Comment allez-vous vous rendre sur place ? Avez-vous votre permi de conduire ? ), voir mêmes des questions culinaires ( Comment faire une mayonnaise ? Quels sont les ingrédients d'une salade grec ? ).

Bon, Je n'ai jamais ( et ne serai probablement jamais ) confortable avec les entrevues, surtout les questions "typiques" mais bon, le désastre que fut mon entrevue au Château Bonne-Entente m'a quand même permis d'être prêt mentalement.

Donc, confiant, je quitte le Clarendon et rentre chez moi.

Mais le groupe Dufour sont des gens sérieux. Quelques jours plus tard, je reçois un courriel me demandant l'autorisation de contacter mes anciens employeurs. Bon, j'appelle Danny de la Cohue ( Allez-y pour les riz de veau et l'entre-côte de cerf, retournez-y pour la soirée Jazz ) et Jeff du Michelangelo ( pas donné c'est vrai mais surveillez les dimanche du mois de Novembre, ils organisent des dîners spéciaux inspirés des repas traditionnels italiens abordables ).

Hop, c'est envoyé.

Bon il avaient dit qu'ils me donneraient des nouvelles, que je sois pris ou non, une ou deux semaines après l'entrevue.

L'attente la première semaine fut longue mais elle fut éclaircie pour une sympathique anecdote.

Après avoir reçu mon diplôme de cuisinier, j'ai reçu un emploi au Michelangelo mais alors que je me rendait à ma première journée de travail, je reçois un appel du chef de La Bête ( amateur de boeuf, allez-y faire un pèlegrinage. Cette endroit est votre terre sainte ), un restaurant où j'aurai bien aimé travaillé ( J'ADORE la viande rouge. ) mais ayant trouvé un très bon emploi, j'ai décliné l'offre d'embauche qu'ils me proposaient.

Et là surprise ! Plusieurs mois plus tard, je reçois un autre coup de fil de La Bête me proposant une entrevue. Un peu abasourdi ( Je m'avais jamais postulé pour leur offre, croyant ne pas avoir les qualifications nécessaires ), j'accepte de rencontrer le chef le lendemain.

Car voici un autre aspect génial d'Emploi Québec.com. Lorsque vous vous créez un profil d'employé, il est envoyé automatiquement à des employeurs potentiels. Fantastique n'est-ce pas ?

Bon, l'entrevue n'avait pas vraiment de débouchée. Vue la pile de CV devant moi quand je suis arrivé, je présume que le chef faisait des entrevues à la chaine.

Bon, revenons au groupe Dufour ( Car un noeud de récit important approche ).

Une dizaine de jours plus tard, je regarde mes courriels en me disant: "Tiens, je devrais appeler le groupe Dufour." Je retrouve leur numéro quand le petit animal de plastique qui vit dans ma poche se réveille et commence à vibrer joyeusement.

Le reste est assez vague...

Tout ce que je me souviens c'est que j'ai été emboché.

J'ai couru, j'ai crié, j'ai chanté, j'ai dansé, j'ai fêté, j'ai HURLÉ !

YYYYYYYYYYYEEEEEEEEEEESSSSSSS !

Mon père m'a retrouvé quelques minutes plus tard, dans le salon, en train de danser le air guitar de la victoire accompagné de Freedom Call.

Donc, j'ai eu la job de mes rêves. En espérant de voir de quoi ça va avoir l'air.

P.S: De toute évidence le groupe Dufour tient à fidéliser ces employés saisonniers. Non seulement il y a un généreux bonus de 500$ si je travaille jusqu'à la fin Octobre mais il offre toutes sortes de bonus aux emplois ( réductions sur le prix des chambres, croisières à la baleine gratuite, 50% sur les rondes de golf. Encore mieux: Si je meurs en travaillant pour eux, probablement un accident de mini-golf, ils enverront des fleurs à ma famille en deuil. ).

Préface.


Bonjour à tous.

Ce blog est avant tout créé par les membres de ma famille et pour mes amis afin de les informer régulièrement de mes aventures dans mon nouveau millieu de travail dans la magnifique auberge de Cap-aux-Pierres, sur l'Isle aux Coudres.

Pour ceux qui se demandent où peut-être cacher ce magnifique bout de terre québécoise, le voici. Une belle île déposée dans le fleuve Saint-Laurent à environ 2 heures de route de Québec ).

À ma parenté et mes amis, j'espère que ça vous plaira et que ça me permettra d'éviter un afflux de questions que je ne pourrai contenir lorsque l'on se reverra.

À ceux qui découvriront ce blog en traînant au hasard sur la Toile, j'espère seulement vous donner envie d'aller à l'Isle aux Coudres et, peut-être, de venir goûter la cuisine de l'auberge Cap-aux-Pierres.